Le tourisme international demeure une activité stable et en forte croissance au niveau mondial mais par pays, il s’avère au contraire vulnérable aux “chocs” économiques, socioculturels, sanitaires, politiques, environnementaux. Peu maîtrisable à l’heure du système mondial de distribution du voyage, des alliances et fusions des opérateurs mondiaux engagés dans le tourisme, du système informatisé de sa réservation ou simplement de son appareillage de mesure statistique actuellement biaisé et non opérant.
Or, la demande touristique internationale continuera aux horizons 2025 de privilégier des relations Nord/Nord pays développés et restera hypothétique en direction de l’Algérie : les scénarios prospectifs des experts internationaux ne lui réservent que 0.4 % de parts du marché touristique mondial.
Par ailleurs, le “nouveau” positionnement du tourisme algérien perpétue un discours de la “durabilité d’une promotion touristique” recadré dans une politique marketing bien plus que le choix d’un “tourisme durable” : un scénario vieux de 40 ans est ainsi réitéré.
Par ailleurs, le “nouveau” positionnement du tourisme algérien perpétue un discours de la “durabilité d’une promotion touristique” recadré dans une politique marketing bien plus que le choix d’un “tourisme durable” : un scénario vieux de 40 ans est ainsi réitéré.
Les référents à un tourisme dépendant des Tours Opérators étrangers, gigantisme des structures d’hébergement sont toujours là et importent des expériences touristiques méditerranéennes dont peu d’enseignements ont été tirés et qui s’avèrent lourdes de conséquences financières et environnementales.
Le modèle touristique algérien aux horizons 2025
Il aura à conjuguer une demande internationale infime dans un Bassin méditerranéen fortement concurrentiel (Maroc, Tunisie, Libye, France, Espagne, Italie) continuant d’investir un littoral balnéaire saturé pour une durabilité du tourisme incompatible avec les méga projets touristiques privilégiés.
Mais la question qui se pose est de savoir si la recherche d’un “tourisme durable”, “responsable”, “solidaire”, “éthique” contenu dans un cahier des charges n’engageant pas juridiquement prescripteurs et souscripteurs, peut ou non cohabiter avec les règles d’un tourisme s’appuyant sur celles de la commercialité, des économies d’échelle, des taux de remplissage, de la génération maximale de bénéfices pour les actionnaires et de la domination des Tours Opérators....
Le modèle touristique algérien aux horizons 2025
Il aura à conjuguer une demande internationale infime dans un Bassin méditerranéen fortement concurrentiel (Maroc, Tunisie, Libye, France, Espagne, Italie) continuant d’investir un littoral balnéaire saturé pour une durabilité du tourisme incompatible avec les méga projets touristiques privilégiés.
Mais la question qui se pose est de savoir si la recherche d’un “tourisme durable”, “responsable”, “solidaire”, “éthique” contenu dans un cahier des charges n’engageant pas juridiquement prescripteurs et souscripteurs, peut ou non cohabiter avec les règles d’un tourisme s’appuyant sur celles de la commercialité, des économies d’échelle, des taux de remplissage, de la génération maximale de bénéfices pour les actionnaires et de la domination des Tours Opérators....