Le Sahara est aujourd’hui le premier désert du monde, en superficie. Environ 8 millions de km2, dont 2 millions pour le Sahara algérien.
La structure des roches et des dunes de sable vous offrent de
splendides couchers de soleil. Les oasis qui le traversent offrent un
spectacle de paradis dans ces etendues peu verdoyantes.
Pourtant, dans ce grand desert, il y’a de la vie. Des villes et des
hommes vivent au gré du temps en dehors de tout stress de la vie
quotidienne. Les touaregs, d’origine berbere sont les plus anciens
habitants de ce grand desert.
Menant une vie semi nomades, Ils n’ont pas de frontieres, leur
origine s’etendant jusqau confins de la région subsaharienne (Mali,
niger ).
LAGHOUAT
: Première Oasis située au seuil du désert à 404 km d’Alger. Elle tire
son nom de ses jardins très célèbre. Laghouat est le principal marché de
la confédération des Ouled Nails, fondée par les Hilaliens au
10e siècle. Les quartiers pittoresques sont Le Chettet au Sud, La
mosquée El-Attik. L’artisanat : Les tapis de Djebel Amour à points
noués. Aux environs de Laghouat, vous pourrez visiter le Ksar
pittoresque de Tadjemout, le siège de la Zaouia des Tidjani, lequel demeure un important lieu de pélerinage.
La vie d’un marché est toujours une agréable attraction pour
l’observateur étranger intéressé par l’économie locale
et la psychologie des habitants.
La place du marché de Ghardaia est entouré d’arcades
et de boutiques, c’est un lieu de rencontre fort animé
jusque tard dans la soirée.
Au marché on y vend toute sorte d’objets en particulier
de superbe tapis dont la réputation dépasse largement
les frontières de la vallée du M’Zab.
En s’élevant vers la vieille ville, en direction du minaret,
par des ruelles en escaliers, on croise à mi-hauteur une
rue circulaire, qui marquat jadis la limite de la cité.
Plus loin, on passe devant un trou aménagé dans un
rocher protégé par une grille. C’est la fameuse grotte
de « Mademoiselle DAIA » .
Cette demoiselle se serait réfugiée dans cette grotte
pendant 3 jours, avant que le feu du foyer qu’elle
allumait chaque soir pour faire cuire ses maigres
aliments, n’attira l’attention du saint homme qui devait
l’épouser et fonder la ville dont le nom même rappelle
cette belle histoire : GHAR-DAIA, la grotte de DAIA
l’observateur étranger intéressé par l’économie locale
et la psychologie des habitants.
La place du marché de Ghardaia est entouré d’arcades
et de boutiques, c’est un lieu de rencontre fort animé
jusque tard dans la soirée.
Au marché on y vend toute sorte d’objets en particulier
de superbe tapis dont la réputation dépasse largement
les frontières de la vallée du M’Zab.
En s’élevant vers la vieille ville, en direction du minaret,
par des ruelles en escaliers, on croise à mi-hauteur une
rue circulaire, qui marquat jadis la limite de la cité.
Plus loin, on passe devant un trou aménagé dans un
rocher protégé par une grille. C’est la fameuse grotte
de « Mademoiselle DAIA » .
Cette demoiselle se serait réfugiée dans cette grotte
pendant 3 jours, avant que le feu du foyer qu’elle
allumait chaque soir pour faire cuire ses maigres
aliments, n’attira l’attention du saint homme qui devait
l’épouser et fonder la ville dont le nom même rappelle
cette belle histoire : GHAR-DAIA, la grotte de DAIA

Laghouat entre le passé et le présent:
Fondée par les Hilaliens, tribu berbère zénète, l’oasis de Laghouat, à
400 kilomètres d’Alger, est aujourd’hui une ville moderne importante.
Chef lieu de wilaya, Laghouat déroule ses strates successives au
visiteur patient — période berbère,arabe, turque, française — qui cèdent
la place à la nouvelle ville, édifiée après 1962. Si les premiers
témoignages (Ibn Khaldoun évoque un village) remontent au XIe siecle, la
ville prit un essor remarquable au XVIe siecle, lorsque Si Hadj Aïssa
en devint le saint patron et mit à l’abri les populations des villages
avoisinant à l’interieur d’une enceinte fortifiée. Un période chantée
notamment dans les poèmes de Ben Keriou, chantre du melhoun, poésie
rurale très prisée encore aujourd’hui. Beaucoup plus tard, c’est le
peintre-écrivain Eugène Fromentin qui lui donna le surnom toujours
vivant de « ville des jardins ». Dans ce décor de cinéma à ciel ouvert,
Lakhdar Hamina tourna une partie de son film Chronique des années de
Braise , Palme d’or à Cannes en 1975.
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